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2011
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Auteurs |
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Ce numéro écrit par Cécile Gaimoz, Valérie Gros et Bernard Bonsang du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE) fait une comparaison du taux d'émissions de composés organiques volatils entre Paris et Pékin. L'étude montre un écart significatif entre les concentrations de COV observées qui sont en moyenne trois fois plus élevées à Pékin qu’à Paris, et pour des composés tels que le styrène, le benzène ou encore l’acétylène, jusqu’à dix, six et cinq fois plus importantes respectivement. La recherche des sources d'émissions montre que les deux mégapoles ont en commun le fait que les émissions liées au trafic automobile (les échappements automobile et l’évaporation des essences) sont la source dominante de COV (54 % à Paris et 35 % à Pékin).